Choisir des chaussures de sécurité légères et confortables

Quel que soit le domaine d’activité, être à l’aise dans ses chaussures est indispensable. Pour effectuer ses nombreuses tâches, le mécanicien devrait privilégier les chaussures de sécurité confortables et légères. C’est très important, car le mécanicien doit les porter en permanence lorsqu’il travaille. Il faut noter que le niveau de confort des chaussures de sécurité est conditionné par leurs éléments de fabrication. Pour cela, il est important de vérifier que les semelles internes assurent le confort des pieds. Ces semelles doivent être lavables, mais aussi amovibles, anatomiques et respirantes. Comme cet élément est aussi appelé semelle de propreté, elle doit être antibactérienne. Chez certains modèles de chaussures de sécurité, les semelles internes sont même orthopédiques, mais il faut noter que le caractère amovible de cet élément vous permet de l’adapter selon vos besoins. C’est-à-dire qu’on peut le remplacer à tout moment.

Sous la semelle de propreté, on doit aussi trouver une semelle intercalaire. Selon le fabricant, cet élément peut être conçu avec une matière qui permet de réduire les sensations de fatigue. Tous ces éléments ne doivent pas alourdir les chaussures, mais au contraire, assurer un maximum de sécurité tout en étant légers. La légèreté permet au mécanicien de se déplacer et de faire des mouvements plus aisément.

Opter pour des chaussures avec un bon niveau de sécurité

Pour assurer la sécurité du mécanicien, il est indispensable que ses chaussures soient composées de coquilles de protection. La coquille est un élément qui se trouve sur l’embout des chaussures et qui est souvent renforcé avec de l’acier. Il y a aussi les semelles externes des chaussures qui doivent être équipées d’un matériau anti-perforation. Cet élément peut également en acier ou en composite.

Pour ce qui est de la matière principale du haut des chaussures, le nubuck est adapté si le mécanicien travaille dans un environnement sec. Mais comme il peut être en contact avec des éléments liquides, notamment des jets d’hydrocarbures, il est préférable que la matière soit hydrophile, respirante tout en étant hydrofuge. Le cuir pleine fleur ou la microfibre est adapté dans ce cas. Pour des chaussures qui résistent bien l’abrasion tout en étant résistantes au risque de déchirure, il est préférable de choisir des matières synthétiques.

Concernant la forme, le mécanicien peut choisir entre les chaussures à tiges montantes ou les chaussures basses.

Les normes que les chaussures de sécurité pour mécaniciens doivent respecter

Même si vous trouvez des chaussures de sécurité avec un bon niveau de confort et un niveau de sécurité approprié, il faut toujours s’assurer que ces dernières soient respectueuses des normes en vigueur. De bonnes chaussures de sécurité pour mécaniciens doivent respecter la norme EN 20345. Cela prouve qu’elles peuvent supporter une pression allant jusqu’à 200 joules. Les pieds du mécanicien seront ainsi protégés en cas d’écrasement. Elles doivent également être de niveau S1 qui prouve que la qualité des semelles permet d’assurer la résistance et la protection face au contact avec des hydrocarbures. Avec un niveau de protection S1P, les chaussures sauront également faire face aux risques de perforation. Concernant la tige des chaussures, il faut qu’elle ait un niveau de sécurité S2 qui prouve qu’elle est hydrofuge et S4 pour les chaussures imperméables.

Faire une vérification de l’entretien du véhicule

S’il y a l’une des choses auxquelles vous devez vous attarder, c’est bien évidemment l’historique du quatre-roues. Cela permet de voir les entretiens et les différentes révisions effectués sur la voiture. Pour ce faire, vous devez consulter les factures et le carnet d’entretien. Dans le cas échéant, il est judicieux de passer votre chemin. Un vendeur qui n’a pas un contrôle technique à jour n’est pas encore prêt à céder son véhicule. En tenant compte des spécificités de chaque marque, il est aussi indispensable de vérifier au préalable celles de votre future voiture. Pour une Audi, le grand entretien doit se faire tous les 30 000 km ou tous les 2 ans.

Examiner l’état des consommables

Avant d’acheter un quelconque véhicule, il est recommandé de demander les factures des pièces et des consommables changés. Ceci vous donne à peu près une idée de l’ampleur de l’entretien qui vous attend (changement des plaquettes et des disques de frein, des pneus, etc.). Notez par exemple que la courroie de distribution doit être remplacée après un certain nombre de kilomètres. Et cette opération peut coûter jusqu’à 1 000 euros pour certaines marques hautes de gamme.

Vérifier les numéros de série de l’auto

Le contrôle du numéro de série de l’auto est un point à ne pas négliger si vous voulez éviter des ennuis après l’achat de la voiture. Vous pouvez trouver le numéro de série de celle-ci inscrit sur la carte grise, sur l’étiquette située sur l’une des portières avant ou qui est gravé sur le châssis. Vous devez vérifier que ces 3 numéros sont identiques. Dans le cas contraire, cela signifie que le véhicule a été volé.

Considérer l’état de la carrosserie

Juger l’état de la carrosserie est un critère pas très important. Mais toutefois, cela est un bon indicateur permettant de savoir si le propriétaire entretient bien ou non sa voiture. En voyant par exemple quelques mousses sur les joints des fenêtres, ceci montre que le véhicule est souvent garé à l’extérieur et non dans un garage. Si l’état de la carrosserie est plus ou moins en mauvais état (rayée, peinture craquelée…), il est important de tenir compte des coûts d’entretien.

Inspecter l’habitacle

Il est aussi intéressant d’examiner l’état intérieur du véhicule. En effet, la présence des tâches ou des traces d’usures sur les sièges indique le niveau d’entretien du quatre-roues. Il faut savoir que l’état de l’habitacle tout comme l’état de la carrosserie ont une conséquence sur le prix de l’auto. Si vous rencontrez une voiture avec un kilométrage acceptable, mais avec un intérieur usé, cela doit tout de suite vous mettre la puce à l’oreille. Le propriétaire a peut-être truqué son tableau de bord.